Lutter contre les Inégalités et la Pauvreté


Les inégalités économiques et la pauvreté représentent des défis majeurs pour la stabilité sociale et le bien-être des sociétés à travers le monde. Pour promouvoir une société plus juste et inclusive, il est impératif de mettre en œuvre des politiques et des stratégies efficaces pour lutter contre ces fléaux. Dans cet essai, nous explorerons différentes approches pour réduire les inégalités et la pauvreté, et favoriser ainsi une prospérité partagée pour tous.

Premièrement, la promotion de politiques de redistribution équitable des richesses est essentielle pour réduire les inégalités économiques et garantir un accès équitable aux opportunités pour tous les membres de la société. Les gouvernements doivent adopter des mesures telles que des systèmes d’impôts progressifs, des prestations sociales universelles et des politiques de salaire minimum décent, afin de garantir que les fruits de la croissance économique bénéficient à tous, et en particulier aux plus démunis. En garantissant un accès équitable aux services essentiels tels que l’éducation, la santé et le logement, nous pouvons réduire les disparités économiques et promouvoir une société plus inclusive.

Deuxièmement, la promotion de l’accès équitable à l’éducation et à la formation est cruciale pour briser le cycle de la pauvreté et garantir que chacun ait la possibilité de réaliser son plein potentiel. Les gouvernements doivent investir dans des systèmes éducatifs accessibles à tous, en mettant l’accent sur l’éducation primaire et secondaire de qualité, ainsi que sur l’accès à l’enseignement supérieur et à la formation professionnelle. En favorisant l’acquisition de compétences et de qualifications, nous pouvons renforcer les perspectives d’emploi des individus et favoriser leur ascension sociale.

Troisièmement, la promotion de politiques de développement économique inclusif est essentielle pour stimuler la croissance économique et créer des opportunités d’emploi pour tous les membres de la société. Les gouvernements doivent adopter des politiques visant à promouvoir l’entrepreneuriat, à soutenir les petites et moyennes entreprises, et à encourager l’investissement dans les régions et les communautés marginalisées. En favorisant un développement économique équitable et régional, nous pouvons réduire les disparités régionales et promouvoir une croissance économique durable et inclusive.

Quatrièmement, la promotion de politiques de protection sociale efficaces est cruciale pour garantir la sécurité économique et le bien-être des individus les plus vulnérables de la société. Les gouvernements doivent mettre en place des filets de sécurité sociale solides, tels que des programmes d’assurance chômage, des allocations familiales et des régimes de retraite, afin de protéger les individus contre les risques économiques et sociaux. En garantissant un accès équitable aux services de santé et de protection sociale, nous pouvons réduire la pauvreté et promouvoir une société plus solidaire et inclusive.

En conclusion, la lutte contre les inégalités et la pauvreté nécessite une approche intégrée et cohérente, impliquant des politiques de redistribution équitable des richesses, d’accès équitable à l’éducation et à la formation, de développement économique inclusif et de protection sociale efficace. En adoptant une approche holistique pour lutter contre ces fléaux, nous pouvons construire une société plus juste, inclusive et prospère pour tous les membres de la société. En unissant nos efforts pour promouvoir une prospérité partagée, nous pouvons œuvrer ensemble pour construire un avenir meilleur pour tous.



La révolution culinaire asiatique à l’échelle mondiale


La cuisine asiatique, avec ses saveurs riches, ses composants variés et ses techniques de préparation uniques, a captivé les palais du monde entier, créant une révolution culinaire qui a transcendé les frontières et les cultures. La cuisine asiatique, connue pour ses saveurs vibrantes, l’équilibre fragile de ses ingrédients et ses diverses traditions culinaires, a laissé une marque indélébile dans le paysage gastronomique mondial. Le parcours de la cuisine orientale, depuis les marchés locaux et les étals de rue en Asie jusqu’aux restaurants gastronomiques et aux cuisines familiales du monde entier, est une histoire d’échanges culturels, de migrations et d’attrait universel pour les bons repas.

La diffusion de la cuisine asiatique dans le monde peut être attribuée à différents éléments historiques et culturels. Des siècles d’échanges commerciaux, notamment le long de la route de la soie, ont permis d’introduire des épices, des herbes, des thés et des techniques culinaires asiatiques en Europe et au Moyen-Orient. Toutefois, la prolifération la plus importante des aliments asiatiques à travers le monde est attribuée aux migrations. À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, un nombre considérable de personnes originaires de Chine, d’Inde, du Japon, de Corée et d’autres pays asiatiques ont émigré vers les Amériques, l’Europe et d’autres régions, apportant avec elles leurs traditions culinaires.

Les quartiers chinois du monde entier ont joué un rôle crucial dans l’introduction de la cuisine orientale auprès d’un public plus large. Ces enclaves sont devenues des centres ethniques et interpersonnels où les immigrants pouvaient apprécier des saveurs familières et partager leur héritage culinaire avec d’autres. Les restaurants de ces lieux ont commencé à proposer des plats non seulement à la population immigrée, mais aussi aux habitants, modifiant régulièrement leurs plats pour les adapter aux palais locaux, ce qui a conduit à la naissance de plats de fusion tels que les plats indochinois en Inde et les plats us-asiatiques aux États-Unis.

L’adaptation a joué un rôle clé dans la diffusion mondiale de la cuisine orientale. Les cuisiniers et les cuisiniers à domicile ont fait preuve de créativité en utilisant des ingrédients locaux et en adaptant des recettes traditionnelles de qualité pour répondre aux goûts et aux choix alimentaires locaux. C’est ainsi qu’ont été créées des versions spéciales et localisées de plats asiatiques, comme les mouvements californiens dans les sushis ou le poulet tikka masala de type britannique. La cuisine fusion, qui associe des techniques culinaires asiatiques à des ingrédients issus de leurs traditions culinaires, a également joué un rôle important dans la popularisation des saveurs asiatiques dans le monde entier.

L’explosion des médias et des traditions populaires a considérablement influencé la diffusion internationale de la cuisine asiatique. Les émissions de voyage, les stations de cuisine et les blogs culinaires ont introduit les traditions culinaires orientales dans les espaces de vie du monde entier. En outre, la popularité de la culture asiatique éclatée, telle que les drames coréens et les animes japonais, a suscité l’intérêt du monde entier pour la cuisine orientale.

La mondialisation a facilité l’accès à de nombreux ingrédients provenant du monde entier. Dans de nombreux endroits, les supermarchés et les détaillants spécialisés proposent désormais des ingrédients asiatiques tels que la sauce soja, le miso, les nouilles de riz et les épices ou les herbes, Khla ce qui facilite la préparation de repas asiatiques à la maison. Cette accessibilité continue de jouer un rôle déterminant dans l’intégration des plats asiatiques dans les repas quotidiens de diverses cultures.

Les avantages perçus en termes de santé et de forme physique des régimes alimentaires asiatiques spécifiques, en particulier japonais et coréens, ont également contribué à leur attrait mondial. Des idées telles que l’harmonie dans les repas, l’utilisation d’ingrédients propres, la faible consommation de produits laitiers et l’accent mis sur les légumes et les fruits de mer ont attiré des convives soucieux de leur bien-être dans le monde entier.

Les traditions alimentaires de la route mondiale ont joué un rôle important dans la popularisation de la cuisine asiatique. Des plats comme le cushion thai thaïlandais, le pho vietnamien, le ramen japonais et le chaat indien ont acquis une popularité internationale, souvent servis dans des camions-restaurants et des échoppes de rue dans les grandes villes du monde entier. Ces plats offrent un aperçu de la cuisine orientale authentique dans un format décontracté et accessible.

Le tourisme culinaire a également contribué à la popularité de la cuisine asiatique. Les vacanciers à la recherche d’expériences authentiques participent fréquemment à des circuits gastronomiques locaux dans les pays asiatiques, ce qui leur permet d’apprécier et de comprendre davantage les coutumes culinaires asiatiques. En outre, les expériences gastronomiques dans les restaurants asiatiques, telles que les révélations teppanyaki ou les cérémonies du thé conventionnelles, ont ajouté un élément de divertissement et de formation culturelle à l’alimentation.

La diffusion de la cuisine orientale dans le monde entier est une preuve du langage commun de la nourriture et de son pouvoir de rapprocher des personnes d’ethnies différentes. Des vendeurs de quartier aux cuisiniers étoilés, les traditions culinaires asiatiques ont déjà été adoptées et célébrées pour la richesse de leurs saveurs, la diversité de leurs substances et leurs méthodes de cuisson uniques. Le monde étant de plus en plus connecté, l’influence de la cuisine orientale ne cesse de croître, enrichissant la tapisserie culinaire internationale et incitant de plus en plus de personnes à découvrir les profondeurs de la gastronomie orientale.



Le Consentement : Un Pilier Fondamental des Relations Humaines


Le consentement est un concept fondamental dans les relations humaines, que ce soit dans le domaine des interactions intimes, des transactions commerciales ou même des décisions politiques. Il est au cœur de la notion de respect des droits individuels et joue un rôle crucial dans la préservation de la dignité humaine. Dans cet essai, nous allons explorer le concept du consentement, ses origines, ses implications sociales et son importance dans divers aspects de la vie moderne.

Le consentement, dans son sens le plus général, se réfère à l’accord libre et éclairé d’une personne à une action ou à une décision. Cela signifie que le consentement doit être donné de manière volontaire, sans contrainte, manipulation ou coercition. De plus, il doit être informé, ce qui signifie que la personne donnant son consentement doit avoir une compréhension claire de ce à quoi elle consent.

L’importance du consentement est largement reconnue dans les domaines des relations sexuelles et de l’intimité. Le mouvement #MeToo, par exemple, a mis en lumière les conséquences dévastatrices de l’absence de consentement dans les interactions sexuelles et a encouragé un dialogue mondial sur la nécessité de promouvoir le consentement conscient et enthousiaste dans toutes les relations intimes. Le consentement sexuel est un exemple essentiel où il est impératif de respecter la volonté de chaque individu, en reconnaissant que le consentement peut être retiré à tout moment.

Le concept de consentement n’est pas uniquement limité aux relations intimes. Il est également essentiel dans le domaine médical. Avant de subir une intervention médicale, les patients doivent donner leur consentement éclairé. Les médecins doivent expliquer les risques, les avantages et les alternatives possibles, permettant ainsi aux patients de prendre des décisions informées concernant leur propre santé. Le consentement médical garantit que les individus ont le contrôle sur leur propre corps et leur bien-être.

En dehors du domaine personnel, le consentement est également fondamental dans le contexte des transactions commerciales. Les contrats et les accords légaux sont basés sur le principe du consentement mutuel des parties impliquées. Les individus et les entreprises ont le droit de négocier les termes de leurs contrats et de conclure des accords en fonction de leur propre volonté. Le respect du consentement dans le commerce est essentiel pour prévenir les litiges et maintenir l’intégrité des contrats.

En politique, le consentement des gouvernés est au cœur des systèmes démocratiques. Les gouvernements sont élus par le peuple et exercent leur autorité en vertu du consentement de ceux qu’ils gouvernent. Les élections sont un mécanisme par lequel les citoyens expriment leur consentement en choisissant leurs représentants. Le respect du consentement politique garantit que les gouvernements restent responsables envers leurs citoyens et respectent leurs droits fondamentaux.

L’origine philosophique du concept de consentement peut être retracée aux idées des philosophes des Lumières tels que John Locke, qui a soutenu que le pouvoir légitime d’un gouvernement découle du consentement des gouvernés. Cette idée a influencé la pensée politique et a contribué à la formation des démocraties modernes.

Le consentement n’est pas seulement un concept abstrait, mais il a des implications concrètes dans la vie quotidienne. L’absence de consentement peut entraîner des conséquences graves, allant de la violation des droits individuels à la coercition et à la violence. Le respect du consentement est essentiel pour préserver la dignité humaine, la liberté individuelle et l’égalité des chances.

En outre, le consentement est étroitement lié à la notion de responsabilité. Lorsque les individus donnent leur consentement, ils assument également la responsabilité de leurs choix. Le consentement informé signifie que les personnes comprennent les implications de leurs décisions et sont prêtes à en assumer les conséquences. Cela renforce l’autonomie individuelle et favorise un sens accru de responsabilité personnelle.

En conclusion, le consentement est un principe fondamental qui sous-tend nos interactions sociales, nos droits individuels et nos institutions démocratiques. Il est essentiel pour garantir le respect de la dignité humaine, l’autonomie individuelle et la liberté de choix. Promouvoir le consentement conscient et éclairé dans tous les domaines de la vie est une responsabilité collective qui contribue à une société plus éthique, équitable et respectueuse des droits de l’homme.



Les années 1990 : l’introduction de la réglementation sur les moteurs


La Formule 1, également connue sous le nom de F1, est l’une des activités de sport automobile les plus prestigieuses au monde. Depuis son lancement en 1950, la F1 a connu plusieurs évolutions, tant sur le plan technique que sportif. Dans cet article, nous allons retracer l’évolution de la Formule 1 des années 1950 à nos jours.

Les premières années de la Formule 1 ont été marquées par des voitures assez simples, dotées de moteurs à plusieurs ou six cylindres ne dépassant pas 200 chevaux. Les courses se déroulaient principalement sur des circuits européens, avec un calendrier comprenant les célèbres courses de Monaco, Spa-Francorchamps et Monza.

Dans les années 1960, la Formule 1 connaît des changements importants. Les moteurs commencent à devenir un peu plus puissants, avec l’introduction des moteurs V8 et V12. Les voitures deviennent également beaucoup plus aérodynamiques, avec des carrosseries plus profilées et des ailerons pour améliorer l’équilibre à haute vitesse.

Les années 1970 ont vu l’arrivée des sponsors dans le monde de la Formule 1, ce qui a permis aux équipes de disposer de budgets financiers plus importants pour faire évoluer leurs voitures. Les moteurs deviennent encore plus performants, atteignant parfois plus de 500 chevaux, et les pneus connaissent également des améliorations considérables.

Dans les années 1980, la F1 connaît une période de domination de l’écurie McLaren, grâce à la combinaison de la voiture de course créée par l’ingénieur Gordon Murray et du talent du propriétaire brésilien Ayrton Senna. Les véhicules deviennent encore plus sophistiqués, avec l’introduction de boîtes de vitesses semi-automatiques et de suspensions actives.

Les années 1990 ont vu l’introduction de restrictions sur les moteurs, limitant leur puissance à près de 750 chevaux. Les voitures ont également été limitées en termes d’aérodynamisme, ce qui a réduit la dépendance à l’égard de la force d’appui et a permis un retour à des véhicules beaucoup plus spectaculaires.

Dans les années 2000, les voitures ont été encore plus simples, avec l’interdiction des systèmes électroniques, simulateur F1 Lyon y compris les suspensions actives et les systèmes de contrôle de l’adhérence. Les moteurs ont également subi des changements substantiels, avec l’introduction des moteurs V10 puis V8. Cette époque a été marquée par la prédominance de l’équipe Ferrari et du propriétaire allemand Michael Schumacher, qui a remporté cinq titres consécutifs entre 2000 et 2004.

Au cours des années 2010, la Méthode 1 a connu de nombreux ajustements significatifs, tant sur le plan sportif que technique. Voici les principales évolutions de la F1 depuis cette époque. En 2014, la FIA a lancé des moteurs V6 turbo hybrides de 1,6 litre, en remplacement des anciens moteurs V8. Ces nouveaux moteurs hybrides sont plus économes en carburant et en émissions de CO2, tout en offrant une puissance similaire à celle des anciens moteurs. Ils sont également équipés d’un système de récupération d’énergie, qui utilise la vitalité thermique et cinétique pour charger une batterie et offrir une assistance électrique.

En 2017, la FIA a introduit de nouvelles règles aérodynamiques, visant à produire des voitures plus rapides et plus difficiles à conduire. Les ailes supérieures avaient été élargies et abaissées, tandis que les ailes arrière avaient été diminuées et élargies. Ces ajustements ont permis d’augmenter la force d’appui, offrant ainsi une meilleure adhérence et de meilleurs taux de virage. Ces dernières années, le calendrier de la F1 a été élargi, passant de 19 courses en 2010 à 23 courses en 2021. De nouveaux circuits ont été ajoutés, tels que le circuit des Amériques à Austin, le circuit de Sotchi dans la fédération russe et le circuit de Yas Marina à Abou Dhabi. Cette expansion a accru la popularité de la F1 dans le monde entier, tout en offrant davantage d’opportunités de course aux équipes et aux pilotes.

En 2010, la FIA a introduit un tout nouveau système de points pour les automobilistes, offrant beaucoup plus de points aux pilotes qui terminent dans les premières places. Ce système a été modifié en 2019, avec l’introduction d’un point supplémentaire pour le pilote ayant réalisé le meilleur temps en compétition, ainsi que pour le pilote ayant réalisé la pole position.

En 2017, la F1 a été rachetée par Liberty Media, un groupe de médias américain. Depuis lors, de nombreux changements ont été apportés à la manière dont la F1 est gérée et promue, comme une mise à jour du site web reconnu de la F1, l’introduction de nouvelles fonctionnalités de diffusion en direct et un engagement beaucoup plus important des fans dans le processus de création de la sélection. La Formule 1 a subi de nombreux changements depuis les années 2010, avec l’introduction de nouveaux moteurs hybrides, de nouvelles réglementations élégantes et d’un calendrier de compétition élargi. Ces développements ont amélioré la protection, l’efficacité et la compétitivité de la F1, tout en offrant aux fans une expérience de course beaucoup plus spectaculaire.



Un médicament de passerelle


La sous-performance choquante du bloc CDU d’Angela Merkel l’a amenée à se battre pour former une coalition face à la montée des partis de droite, surtout l’AfD. Même si l’Allemagne avait réussi à réduire l’immigration par rapport aux niveaux de 2015 et à imposer plus d’ordre au processus, le grand élan de la répudiation était le malaise avec l’afflux de migrants. Nous espérons voir plus de sondages, mais des anecdotes suggèrent que l’inconfort des électeurs allemands était autant culturel qu’économique: ils ont vu l’ampleur des arrivées du Moyen-Orient (ainsi que le manque de programmes de base, même pour les aider à s’intégrer, comme formation linguistique) comme une menace pour la culture allemande.
Avec le Brexit, l’immigration a de nouveau contribué à provoquer une réaction politique. Il a étrangement été rédigé à partir de récits populaires, mais le Royaume-Uni a fait pression pour l’approbation de l’ajout de nouveaux membres d’Europe de l’Est comme la Pologne à l’UE, et a prévu que le Royaume-Uni n’obtiendrait que 50000 immigrants polonais par an. Le niveau de première année était plus proche de 500 000. Non seulement les arrivées ont fait baisser les salaires bas de gamme, mais elles ont également exercé une forte pression sur le logement, dans un pays déjà mal logé.
Je ne dis pas qu’il existe des réponses simples à la question de savoir ce qu’est une politique d’immigration équitable. Mais il est important de noter que beaucoup de gens qui plaident pour les vertus d’une immigration plus ouverte sont dans des métiers qui ne sont pas très exposés à la concurrence des immigrants, ou pire, choisissent d’omettre le fait qu’ils bénéficient en ayant les immigrants agissent comme une classe de serviteurs: nounous, jardiniers, aides-soignants, chauffeurs de taxi. Aux États-Unis, notre politique d’immigration a pour objectif principal de maintenir les salaires à un niveau bas.
Dans une période antérieure d’immigration américaine à grande échelle, au début du 20e siècle, le sentiment du public se retournait contre lui en raison de l’inquiétude suscitée par l’impact sur la culture américaine. Les intérêts commerciaux, le plus important, l’Association nationale des fabricants, souhaitaient préserver l’accès à des travailleurs de la faim bon marché. Ils ont abordé le problème en faisant la promotion de la formation linguistique et en aidant à obtenir la citoyenneté. Rappelez-vous, la plupart de cela était de l’habillage cynique.
Les inégalités croissantes et le niveau de vie de la classe moyenne sous pression signifient que les immigrants seront confrontés à encore plus d’hostilité que si les conditions économiques étaient meilleures. Ceux qui se considèrent comme des défenseurs de la justice sociale doivent se demander: pourquoi les citoyens qui ont généralement dû faire face à une situation économique stagnante ou à une détérioration de la situation économique devraient-ils être invités à faire des sacrifices pour offrir une vie meilleure aux immigrants? Ils sont généralement les perdants tandis que les classes supérieures en bénéficient.
Autrement dit, l’immigration est un moyen de mettre en œuvre la stratégie de Jay Gould d’embaucher la moitié des classes ouvrières pour tuer l’autre. Les partisans de l’immigration doivent faire face à ce problème, sinon ils continueront à perdre le pouvoir.
Par Julian Sayarer, qui écrit à (ce n’est pas pour la charité). Il est l’auteur de Life Cycles, un compte rendu de son record de circumnavigation du monde à vélo, et son dernier livre est Interstate. Publié à l’origine sur Open Democracy
La libre circulation est-elle bonne pour les Européens ordinaires?
Cette lettre fait partie d’une série Looking at Lexit », éditée par moi-même et Xavier Buxton. Au cours des 12 prochains mois, alors que les thèmes du Brexit émergent dans l’agenda des nouvelles, nous répondrons en publiant nos lettres de mise en service respectives ». Xavier s’interroge sur la poursuite de la libre circulation ici
Si le débat sur le Brexit n’a souvent été qu’un débat sur l’immigration, alors l’incarnation de gauche de la lutte idéologique n’a été épargnée par aucune acrimonie. Lorsque les arguments de la gauche économique ont avancé que certains freins à la migration sont nécessaires pour protéger les conditions des travailleurs britanniques et des travailleurs de l’UE au sein du Royaume-Uni, les arguments de la gauche sociale ont tenu bon en affirmant que l’UE sans frontières est implicite à la esprit d’internationalisme et de valeurs libérales auxquelles toute gauche digne de ce nom doit s’engager.
La vérité, bien sûr, n’est pas si simple. Les citoyens de l’UE non britanniques travaillant dans des secteurs sous-payés et sous-protégés constituent un mauvais emblème du libéralisme. La nature sans frontières de l’UE ne s’étend que jusqu’à la frontière de la forteresse qui définit les limites de l’UE, et l’argument libéral pour la liberté de circulation de l’UE n’a que peu de poids dans les universités d’Istanbul, Mumbai, Nairobi. La question est alors de savoir si la liberté d’un vétérinaire de Timisoara, exerçant son métier – sans barrières – dans le Devon, est une opportunité de mobilité suffisamment vertueuse pour que la barrière renforcée que son homologue de l’autre côté de la frontière avec l’Ukraine vaille la peine visage.
Sans aucun doute, ces arguments autour de la mobilité sont très en jeu et la présence même de travailleurs à l’étranger a été utilisée trop librement et sans examen, comme synonyme d’une sorte de vertu cosmopolite. Où devrions-nous commencer à concevoir une politique d’immigration juste, ouverte et véritablement sans frontières, conforme aux valeurs de la gauche? La réponse, comme toujours, ne vient probablement pas d’ici.
La question qui doit être posée à ceux qui prônent un Brexit de gauche, en mouvement comme avec d’autres questions, est quelle est l’alternative à la mobilité proposée au sein de l’UE? Certes, il est possible de concevoir une politique d’immigration plus juste que celle des conservateurs ou de l’UE actuelle, mais il est négligent de ne pas se demander dans quelle mesure il est probable qu’une telle chose se produise dans le climat du Brexit.
Cette préoccupation sera probablement vivante même dans les teintes dites «plus douces» du Brexit. L’accès au marché unique, comme les Suisses l’ont découvert dans leurs tentatives de créer des quotas de travailleurs, empêchera la mise en œuvre de tout sauf l’acceptation de la version européenne de la mobilité – une situation qui nous ramène à la logique que le Royaume-Uni a laissée, s’il est préoccupé par La politique de l’UE en matière de liberté de circulation est la mieux placée pour influencer cette politique de l’intérieur et non de l’UE.
De plus, malgré le fait que les nombreuses histoires européennes d’amour, d’apprentissage et de voyage à l’aise dans l’Union peuvent être présentées comme des hypocrisies lorsqu’elles sont placées côte à côte avec des difficultés de citoyens non membres de l’UE, ces expériences pourraient tout aussi bien être considérées comme la porte d’entrée drogue à un monde sans frontières, plutôt que seulement un double standard néfaste. Il est important de se rappeler que les voyages sans visa peuvent exister et existent actuellement avec des dizaines de pays non membres de l’UE, et continueront certainement d’exister, quelle que soit la version du Brexit ou non.
L’espace Schengen sans frontières de l’UE n’a cessé de croître au cours des vingt dernières années: l’avenir de la libre circulation réside dans ce bloc, pas en dehors.
Ce qui sera beaucoup plus difficile à reproduire que la mobilité pure, c’est la réciprocité des normes, la reconnaissance mutuelle des diplômes, qui certifie qu’un diplômé en droit français a suivi une norme de formation reconnue pour être apte à étudier le droit local puis à pratiquer en soit Paris, Berlin ou Londres. Le mouvement de base est une chose, mais les racines et le droit de les établir en sont une autre; les États-Unis accordent des dispenses de visa à la majorité des citoyens de l’UE, mais refusent les visas aux citoyens de Bulgarie, de Croatie, de Chypre, de Pologne et de Roumanie. Ces mêmes citoyens ont le droit de déménager au Royaume-Uni, de trouver un logement et de commencer à travailler sans aucun document au-delà de leur propre passeport. De même, l’UE en tant que bloc peut militer au nom de petits pays à prédominance pauvre qui seraient autrement impuissants face à l’hostilité américaine.
Ce droit; arriver, s’installer et se construire une vie, est bien sûr aussi une chose que les États-Unis refusent au Royaume-Uni et à tous les autres visiteurs – l’UE est unique dans sa facilitation d’une telle communion. Les institutions de l’UE sont, dans le monde d’aujourd’hui, un exemple rare d’un bloc qui donne aux citoyens, à différents points de départ sociaux et économiques, la possibilité de s’essayer à la vie dans un pays qui ne les aurait pas autrement. Ce n’est pas parfait, non, mais c’est le bon point de départ.
Re votre intro Yves, je me demande ce que vous entendez par récits populaires? Dans la presse américaine? La presse britannique étant obsédée par le sujet, il a rapidement été constaté que le nombre d’Européens de l’Est était bien plus élevé que prévu. (Beaucoup d’arguments sur l’exactitude des chiffres, mais le recensement de 2011 a confirmé des centaines de milliers.)
Je pense qu’il y a un problème de libéraux / gauchistes pro et anti-immigration qui se parlent. Vous indiquez que vous pensez que la migration de masse peut (ou fait) freiner les salaires (je suis enclin à être d’accord): les travailleurs sont invités à faire des sacrifices ». La réponse que vous obtiendrez souvent est non, l’immigration est bonne pour l’économie ». Jusqu’à et y compris l’affirmation selon laquelle l’immigration de masse est bonne pour la croissance par habitant, et pas seulement la croissance économique globale (à partir d’une population croissante). Essayez maintenant de le prouver de façon convaincante dans les deux cas!
Puisqu’il est si plausible que plus d’immigrants signifie des salaires plus bas, je ne pense pas que le problème politique disparaîtra jamais même s’il est économiquement faux (je ne dis pas que c’est faux). Les Europhiles auraient dû s’en rendre compte, nous aurions dû limiter l’immigration A8 tant que nous le pouvions. Comme d’habitude, la première priorité de New Labour était de garder les affaires en douceur, mais cela s’est retourné contre lui. La presse de droite utilisera n’importe quelle arme contre la gauche et les immigrants nous appauvrissent »était trop beau pour résister.
Je me demande si l’immigration de masse était responsable d’empêcher les États-Unis d’obtenir un puissant mouvement ouvrier comme en Europe occidentale. Si tel est le cas, la gauche de l’UE devrait avoir très peur.



Le tourisme responsable dans les pays pauvres


Voyager dans les pays pauvres peut avoir un impact substantiel sur le voyageur et le pays visité. C’est une chance unique pour le voyageur de découvrir différentes cultures, langues parlées et coutumes, voyage au Liban tout en contribuant au climat économique local. Cependant, il est important de comprendre les effets négatifs possibles des voyages et des loisirs dans ces pays et d’élaborer un plan pour les atténuer.

L’un des impacts les plus importants des voyages et des loisirs dans les pays pauvres est d’ordre économique. Les vacances peuvent être la principale source de revenus pour les populations locales, créant des emplois et favorisant la croissance économique. De nombreux habitants des pays pauvres dépendent du tourisme pour leur subsistance, que ce soit en gérant de petites entreprises, en vendant de l’artisanat ou en travaillant dans le secteur de l’hôtellerie et de la restauration. En dépensant de l’argent pour acheter des biens et des services locaux, les vacanciers peuvent contribuer à soutenir l’économie locale dans son ensemble et fournir un revenu indispensable à toute personne vivant dans la pauvreté.

Cependant, les voyages et les loisirs peuvent également avoir des effets monétaires négatifs, même s’ils sont gérés de manière responsable. Par exemple, si les touristes séjournent principalement dans de grands centres de villégiature internationaux ou mangent dans des restaurants de chaîne, l’économie locale risque de ne pas en profiter autant. En outre, si les touristes s’engagent dans des procédures d’exploitation, comme le fait de négocier trop vigoureusement des services ou des biens, ils peuvent contribuer à la perpétuation de la pauvreté plutôt qu’à son atténuation.

Se rendre dans des endroits pauvres peut également avoir un effet significatif sur le point de vue et la vision du monde du voyageur. Le fait de voir de ses propres yeux les défis auxquels sont confrontées les personnes vivant dans la pauvreté peut inspirer de la sympathie, de la compassion et le désir d’agir pour résoudre ces problèmes. Cette expérience peut également faire obstacle aux idées préconçues sur la pauvreté et les personnes qui y sont confrontées, ce qui permet en fin de compte de mieux comprendre et d’admirer des civilisations et des modes de vie différents.

Néanmoins, il est important que les voyageurs abordent leurs expériences avec humilité et respect pour les personnes et les cultures qu’ils rencontrent. La pauvreté est un problème complexe qui n’a pas d’issue facile, et il est essentiel d’éviter de tomber dans le piège des « vacances de la pauvreté » ou d’utiliser les activités d’autres personnes à des fins d’acquisition personnelle ou de divertissement. Les voyageurs doivent prendre le temps de s’informer sur la culture et l’histoire des lieux qu’ils visitent et s’engager avec les populations locales de manière polie et significative.

Un autre impact du tourisme dans les régions pauvres est d’ordre écologique. De nombreuses destinations touristiques très prisées dans ces pays sont des écosystèmes fragiles qui peuvent être facilement endommagés par un grand nombre de visiteurs. En outre, le tourisme peut être source de pollution et de déchets s’il n’est pas géré de manière responsable. Les voyageurs vous aideront à atténuer ces impacts en optant pour des voyages durables, tels que l’écotourisme ou le tourisme responsable, et en respectant les lois et coutumes locales en matière de gestion des déchets et d’efficacité.

En conclusion, voyager dans les pays pauvres peut avoir des effets à la fois positifs et négatifs. En aidant les systèmes économiques locaux, en apprenant à mieux comprendre les différentes cultures et en luttant contre les idées reçues sur la pauvreté, les voyageurs peuvent contribuer à un changement positif. Toutefois, il est important de voyager avec respect et humilité et de prendre des mesures pour atténuer les effets négatifs du tourisme sur l’environnement, l’économie et les communautés locales. En adoptant des pratiques de voyage responsables, nous pouvons faire en sorte que nos expériences à l’étranger soient bénéfiques à la fois pour le voyageur et pour le pays visité.



Des villes submergées


Ainsi, les activités géologiques sont parfois plus difficiles à réaliser et incroyablement lentes. Les experts de l’environnement d’aujourd’hui ne comprennent pas ce phénomène, fouillent leurs modèles basés sur des informations hypothétiques et publient des documents juste après les documents dans le journal international pour effrayer la planète. Un article en particulier a été rédigé par Camilo Mora dans une revue bien connue «Nature» en 2013. Bien qu’il y ait cinq ans, il produit des vagues dans les zones métropolitaines des États-Unis. L’essentiel du document est la Terre est la course dans le sens d’un long terme apocalyptique où les principales villes sont touchées. Ainsi, New York et Londres pourraient devenir invivables en raison du changement climatique créé par l’homme en moins de 45 ans! Le rapport indique en outre que d’innombrables milliers de personnes vont migrer de tous ces États en raison du changement climatique et traverser illégalement des couveuses d’autres endroits pour une vie plus sûre (l’Inde a une vision prospective …… CAB et NRC ont été en place !!!) . Le réchauffement climatique pourrait laisser les villes ci-dessus un endroit anéanti dans le monde. Les enregistrements signalent que l’horloge du jugement dernier tourne avec toutes les premières indications de transformation attendues à la fin de cette décennie. Cela peut être ridicule. Les occasions géologiques prennent du temps. Si une personne croit à ce rapport, alors le jeune venu dans ce monde commencera probablement à voir la conclusion de New York dans une quarantaine d’années supplémentaires !!. 5 ans déjà sont au-dessus de la publication de ces articles et les individus à New York vivent heureux maintenant. !! C’est la raison pour laquelle ces articles sont toujours appréciés. Il est vraiment étonnant que de tels journaux contenant des informations hypothétiques soient encouragés par les meilleures revues comme Character et comment les critiques ferment les yeux et suggèrent ce genre de documents !! Selon le docteur Patrick Michael, ancien directeur de Middle pour l’étude de la recherche CATO Institute, chacune des versions climatiques fournies n’est pas appropriée et ce type d’hypothèses est bien préparé avec des données truquées, etc., les hypothèses ne doivent pas être testées. Des organes directeurs influents et des entreprises comme le GIEC (CCNUCC) apprécient ce type d’examens pour sensibiliser à ce type de problèmes en raison de facteurs politiques. On considère vraiment que les éditeurs de journaux comptent sur les officiers supérieurs pour simplement accepter un tel papier qui aide au réchauffement climatique et au réchauffement climatique. Ces types de documents sont utilisés pour gagner des élections. C’est précisément la principale raison pour laquelle les nations n’ont pas pu accepter l’offre de contrôler l’augmentation de la température mondiale lors de la réunion actuelle du C o P 25 tenue à Madrid. Ces rencontres sur le changement climatique ne sont donc pas des conférences d’affaires technologiques, mais des réunions d’affaires politiques. Selon Patrick Michael, les documents qui s’opposent à ce type d’hypothèse se distinguent des périodiques bien connus, tout comme celui indiqué plus haut.



Il faut moderniser les villes


Les villes du monde entier se transforment. Les Champs-Élysées de Paris, l’une des routes les plus encombrées de la planète, vont devenir une gigantesque cour arrière. Barcelone s’est fermée dès ses premiers quartiers aux voitures. Et aujourd’hui, Milan est en passe de devenir la première ville du monde à vivre en 15 minutes (continuez à lire pour savoir ce que cela signifie).

Il semble que la pandémie, pour certains, soit devenue un moment pour réimaginer la façon dont nous voyons l’avenir de nos villes les plus anciennes. Pourquoi ? Eh bien, New Orleans il y a eu un petit exode hors de nos zones urbaines pendant la pandémie. C’était la plus petite des ruptures dans la migration nette des zones rurales vers les zones urbaines qui a eu lieu pendant des décennies. Les gens qui pouvaient se permettre de partir, sont partis. Pour ceux qui sont restés, les fermetures et les restrictions de mouvement ont mis en lumière les plus grandes imperfections de la plupart des villes : routes encombrées, atmosphère polluée et manque d’espaces communs respectueux de l’environnement.

Aujourd’hui, il semble que la pause ait incité les urbanistes du monde entier à repenser la manière dont les villes du monde entier peuvent se développer pour prendre un cours différent. À cette bifurcation particulière, voici comment nos villes pourraient changer de cap de formation après la pandémie.

Une idée qui fait son chemin dans les capitales du monde entier est sans aucun doute la zone de 15 minutes. Il s’agit de faire passer la ville d’un centre dense avec ses banlieues environnantes à une série de pôles à l’intérieur desquels se trouvent des centres commerciaux et de divertissement. Aucun de ces pôles n’est situé à plus de 15 minutes de marche ou de vélo du lieu de résidence des habitants, et de nombreuses personnes peuvent vivre à proximité de plusieurs pôles.

L’idée de la ville en 15 minutes vient de l’universitaire colombien Carlos Moreno, professeur à l’université de la Sorbonne à Paris, et elle a attiré l’attention de la maire de Paris, Anne Hidalgo. Dans la capitale française, les 60 km de pistes cyclables temporaires ouvertes dans la ville pendant la pandémie sont en train de devenir permanentes, et d’autres pistes sont prévues à l’avenir.

La création de villes de 15 secondes repose toutefois sur une nouvelle structure, afin de permettre aux gens de se promener et de se déplacer en toute sécurité vers leurs destinations, et cela peut également créer des problèmes. « Un système difficile et rapide dans lequel 70 millions de personnes comprennent, reconnaissent et acceptent les règles en même temps ne se produira pas », déclare le Dr Ian Walker, professeur d’écologie à l’université du Surrey. « Il est nettement préférable d’avoir un programme où le fait que vous soyez d’accord ou non avec les principes ne fait aucune différence, la sécurité est toujours assurée. Un exemple sévère est le fait que les piétons ne peuvent pas aller sur l’autoroute, donc les conducteurs ne peuvent pas les heurter à cet endroit. On pourrait commencer à faire des choses comme ça dans les villes si l’on avait une structure de ségrégation cycliste, ou mieux encore, une structure de ségrégation de conduite qui maintient les conducteurs en dehors du chemin de tous les autres. »

Les objectifs futurs du plan de Paris font écho aux sentiments de Walker. Un nombre suffisant de pistes cyclables séparées est en cours d’aménagement pour pouvoir être appliquées à la plupart des trajets à vélo, quel que soit leur kilométrage approximatif, tandis que les principaux carrefours qui alimentent le trafic vers le centre depuis le boulevard périphérique sont en train d’être rendus moins dangereux pour les cyclistes venant de la banlieue. Un grand nombre d’arches en acier auxquelles on peut enchaîner les vélos tout au long de la journée devraient également faire leur apparition sur les routes de la ville, ainsi que 50 000 places de stationnement supplémentaires pour les vélos dans les parkings et les lotissements extérieurs.

L’idée de la ville en 15 minutes de Moreno a remporté le prix Obel 2021, un prix international destiné à récompenser les contributions architecturales exceptionnelles au développement de l’être humain. Le jury du prix a reconnu les avantages du concept de 15 secondes, en déclarant : « La ville en 15 minutes est assurément un concept intuitif et a la capacité d’apporter des changements perceptibles dans la vie des gens. Pour ces raisons, il s’est avéré facile de le traduire en programmes politiques et en directives qui convertissent les villes. »



L’entrepreneuriat comme outil diplomatique


L’esprit d’entreprise est devenu un catalyseur de progrès dans la résolution des conflits dans le monde. L’accent mis sur la création d’emplois et de richesses est devenu un sujet de discussion »sur lequel presque tous les gouvernements peuvent s’entendre – ou du moins trouver peu de raisons de ne pas être d’accord.
L’Arménie et la Turquie sont depuis longtemps en désaccord. Répartis sur un passé tragique, les pays voisins n’ont pas de relations diplomatiques et leur frontière reste fermée.
Malgré cela, en novembre 2014, un groupe de Turcs s’est rendu en Arménie pour le Startup Weekend, un événement où les aspirants entrepreneurs affinent et présentent leurs idées aux investisseurs et aux experts. Dans des équipes mixtes, de jeunes Arméniens et Turcs ont travaillé ensemble pour construire de nouvelles entreprises. Nous n’étions pas concentrés sur le fait d’être arménien ou turc – juste sur le fait d’être les meilleurs », a noté un participant turc.
Ce sentiment est exactement ce que les personnes qui ont soutenu le voyage – des diplomates des États-Unis et de l’Union européenne – espéraient atteindre. Pendant des décennies, ils ont eu du mal à trouver un terrain d’entente pour que les Arméniens et les Turcs entament un dialogue. Les types de personnalité communs, les valeurs et la concentration d’esprit des entrepreneurs ont créé une ouverture.



Parapente: un sport à découvrir


Parapente, activité sportive des parachutes de voyage avec des ajustements de conception qui augmentent leurs capacités de vol à voile. Contrairement aux planeurs suspendus, leurs relations fermées, les parapentes n’ont pas de plate-forme rigoureuse; la couverture de parachute se comporte comme une aile et est également faite de cellules textiles avec des possibilités à l’avant qui leur permettent d’être gonflées par le mouvement de l’atmosphère – l’impact «ram-air». L’initiale est arrêtée dans un harnais assis et régule l’aile par des lignes faciales liées au côté arrière du parapente. Ces lignes faciales peuvent être exécutées séparément pour faire tourner le parapente ou simultanément pour influencer la hauteur et le rythme. Le décollage et l’atterrissage ont un pied et se produisent généralement sur une pente ou une colline. Pour produire, l’aviateur gonfle d’abord l’aile en la soulevant comme un cerf-volant, puis descend la pente jusqu’à ce que la vitesse de vol soit atteinte. Normalement, un rythme d’environ 12 miles par heure (19 km chaque heure) est suffisant pour libérer l’engin. Les parapentes peuvent également être lancés depuis la plaine par remorquage, avec un treuil ou derrière une automobile. Le sport peut être suivi vers les actions de l’inventeur français de parachutistes Pierre Lemoigne, qui a remorqué ses auvents de parachute arrondis avancés dans les années 1950. La construction de cellules à débit d’air supérieur et à mémoire a commencé au début des années 1960 en utilisant les conceptions de cerf-volant et de parachute du Canadien, l’inventrice américaine Domina Jalbert. Ces modèles ont évolué en parachutes rectangulaires orientables avec un rythme avant relativement plus élevé. Il a été rapidement constaté qu’ils avaient suffisamment de performances globales de glisse pour leur permettre d’être introduits à partir de pentes de ski abruptes ainsi que par le biais de la mise en œuvre d’aéronefs habituelle pour les parachutistes. Au cours des années 60, l’intérêt pour la capacité de vol à voile des parachutes a augmenté lentement et progressivement mais régulièrement. Le parapente s’est développé aux États-Unis ainsi que dans les régions alpines de la France et de la Suisse, là où il a finalement totalement évolué. Certains alpinistes ont vu le parapente plutôt que la descente en rappel après une ascension, tandis que d’autres amoureux ont apprécié son possible en tant que sport à part entière. Une fois que l’on s’est rendu compte que l’aile n’avait pas à faire face au choc de démarrage auquel les auvents de parachute sont soumis, des lignes plus fines et un développement moins lourd ont été utilisés; cela réduit la traînée et la capacité de glissement est plus grande. Une amélioration supplémentaire est venue de l’élargissement de l’aile avec l’ajout de cellules supplémentaires. Cela augmente la proportion des éléments de l’aile (la connexion dans la période vers l’accord) et augmente son efficacité. Les parapentes utilisent l’air ascendant (thermique) de la même manière que les autres avions de vol à voile, malgré le fait que leur vitesse inférieure empêche leur utilisation dans un vent puissant. Utilisant l’augmentation de l’énergie, la montée en flèche de vols aériens de 100 kilomètres (160 km) est courante. Dans les niveaux de compétition, les pilotes empruntent des trajectoires de vol vers des cibles éloignées, enregistrant leur développement par des photos aériennes ou des restes de navigation par GPS (méthode de placement globale). Dans un climat favorable, les trajets peuvent atteindre 60 miles (100 km) ou même plus et incorporer un certain nombre de facteurs de virage. Depuis les années 90, l’histoire mondiale de la distance directe était de 208 kilomètres (335 km). Les Championnats du monde de parapente de la Fédération Aéronautique Internationale (FAI) ont déjà eu lieu presque tous les 12 mois depuis le tout premier tournoi de Kössen, en Autriche, en 1989.